Mexique, Continent

La délicieuse odeur de barbecue attire tous les conducteurs et passagers, on se sert aussi au buffet, le repas est inclus dans le prix du billet. On peut rester dans la voiture en conduisant, bei dem sanften Wellengeschaukel fallen bald allen vieren die Augen zu. Contre 21.00 Nous arrivons enfin sur le continent, schnell werden alle LKWs heraus rangiert und schon haben wir wieder festen Boden unter den Füßen. Quelques kilomètres plus loin il y en a un gros derrière une station service, parking très encombré, peu importe, parfait pour une nuit.

Le lendemain matin, nous allons faire un tour, où nous nous sommes retrouvés ici – et, ça ressemble un peu à un dépotoir ?? C'est toujours très effrayant, combien de merde…… traîner partout, nous ne pouvons et ne voulons tout simplement pas nous y habituer.

Aujourd'hui nous continuons vers Culiacan, la route traverse un paysage très fertile, Le maïs pousse sur les immenses champs, Pomme de terre, Canne à sucre et beaucoup de tomates entre les deux. D'énormes camions, entièrement chargé avec le stand de légumes rouges devant une grande usine de conserves – c'est donc de là que vient notre ketchup :).

Arrivés à Culiacan on se dirige vers un Walmart, nous passerons la nuit ici. Au cours de la promenade nous découvrons un joli parc de la ville le long du Rio Humaya, les chiens sont excités, que l'eau n'a finalement plus le goût salé. Un voyage à Walmart termine la journée, car nous devons nous lever tôt demain, allons nous coucher tôt pour une fois.

Le mardi est notre rendez-vous d'atelier chez MAN, à l'heure à 9.00 nous nous tenons devant la porte, nous sommes immédiatement entourés de tous les employés. Henriette est garée dans le hall, Pendant ce temps, je fais le tour du pâté de maisons. La région ici est pauvre, fatigué, incroyablement jonché et à chaque coin de rue un nouveau gang de chiens de rue nous attend. Le soleil tape maintenant dans le ciel, après deux heures de marche mes garçons se mettent en grève, ils ne veulent plus. Trouver un endroit pour s'asseoir ici est un vrai défi – à un moment on découvre un petit terrain de foot, au bord duquel se trouve un banc sous un arbre. Ici, nous pouvons faire une pause et passer le temps d'attente. Pendant ce temps, Henriette se fait monter une plaque sur le poste de conduite, sur lequel on peut installer l'antenne Starlink. Aussi les sécheurs d'air, que nous avons commandé à Hermosillo, sont échangés, cependant, la mécanique détermine, que le troisième Airdryer est également défectueux et devrait être remplacé. La pièce détachée n'est pas en stock, doit être commandé ?? Nous avons également eu un nouveau message d'erreur hier, Apparemment c'est le capteur de roue arrière – ce capteur n'est disponible qu'à Mexico, il faut aussi le commander. Et les vacances de Pâques commencent aussi demain – cela signifie, que nous n'aurons pas le prochain rendez-vous avant 14 obtenir des jours – donc encore une fois un changement complet de plan de voyage. Assez frustrés, nous roulons vers notre parking Walmart, considérer,. ce que nous pouvons faire dans les prochains jours.

Puisque nous devons inopinément passer le temps ici, Passons une journée en ville. Dans le parc nous découvrons bientôt un nouvel animal: Beaucoup d'iguanes se cachent sur les branches des arbres, nous sommes fascinés par ces animaux primaux. Deux kilomètres plus loin, nous arrivons à la Basilique Catedral, une église sud-américaine typique. L'agitation qui l'entoure est tout simplement magnifique: beaucoup de cireurs attendent les clients, Les étals proposent des sucreries, boissons et tacos, à côté se trouvent des chapelets, Vente d'images de saints et de palmes, un coloré, agitation bruyante. Notre prochaine destination: le jardin botanique, ll. Google est censé être une très belle installation. Une demi-heure plus tard nous sommes devant l'entrée, mais ne sont pas autorisés dans, Les chiens sont interdits ici. Aggravant, mais tu ne peux rien faire, donc on reprend le chemin du retour sans avoir rien réalisé.

Nous devons traîner les garçons derrière nous maintenant, ils sont à peu près terminés. Un petit café est l'endroit idéal pour une pause, on se renforce avec une salade, les nez de fourrure peuvent tout 4 étirez vos jambes. Fortifiés ainsi, nous pouvons facilement reprendre le chemin d'Henriette, dormir sur le canapé. Nous parlons longuement avec Frank et Corina, un couple, que nous ne connaissons pas personnellement, le contact a été établi par Anke et Mitch. Les deux voyagent depuis longtemps, jusqu'ici avec son phénix, ont maintenant également acheté un MAN. Ils naviguent actuellement autour de la Floride, alors je veux commencer à Montevideo en hiver. Il y a tellement de similitudes, que nous avons presque 2 Des heures ensemble à bavarder et à promettre, pour nous rencontrer quelque part en chemin.

Nous voulons juste nous mettre à l'aise, puis on frappe à la fenêtre, un Mexicain intéressé nous demande de sortir. Après les courses, il monte dans notre voiture avec sa petite fille, nous en dit long sur le Mexique, offre son aide pour toutes les urgences et donne des conseils pour la suite du voyage. Pour le soir il nous invite dans un petit bar en ville, nous déclinons avec remerciements, puisque nous sommes tous à peu près assommés. sont.

aujourd'hui, Jeudi Saint, nous voulons continuer jusqu'à la côte. Nous sommes juste en train de tout emballer, quand un gentil jeune homme vient vers nous et nous invite à un endroit au bord du lac près d'ici. Le site appartient à son beau-père, Ici, nous pourrions rester immobiles et en sécurité. Il va nous montrer des photos – et oui, ça a l'air vraiment sympa. Le lac est sur notre route, donc on décide, nous allons jeter un coup d'oeil. En fait, on se retrouve dans un petit paradis: 3 de petites péninsules ont été créées par la famille – avec des palmiers, mais le garçon dit non et dit, choix de sièges, palapas ……… très idyllique. Non 5 minutes nous nous tenons ici, il y a déjà une voiture de police à côté de nous. Les deux policiers sortent, interroger, comment nous sommes – et ce que nous faisons ici. Heureusement, notre hôte Joël vient d'arriver et d'éclairer les deux officiers. Ils sont sympa tout de suite, s'excuser pour leur comportement et faire demi-tour. Joël nous explique, que les gens ont très peur ici, car il y avait eu quelques fusillades entre les cartels de la drogue ces derniers temps. Puisque notre Henriette ressemble un peu à un véhicule militaire, un local a dû appeler la police tout de suite, pour nous consulter – maintenant on comprend un peu mieux.

Joël revient plus tard, pour nous inviter à dîner: il y a du poisson grillé, fraîchement pêché du lac – ça sonne bien! Nous prendrons notre café en paix, puis nous flânons ensemble vers la petite île privée enchanteresse de la famille. Comme toujours, Frodon et Quappo volent la vedette, ils sont au centre de l'attention, sont caressés et photographiés par tout le monde. Griselda, la femme de Joël, met une couronne froide dans la main de tout le monde, la soirée ne pouvait pas mieux commencer. Le savoureux vient plus tard, poisson frais avec tacos et salades sur la table, Il a un goût excellent. Encore et encore Gris apporte des fournitures Cerveza, il n'y a pas grand chose dans la petite bouteille. Pendant ce temps, la pleine lune a poussé sur la montagne, c'est une ambiance magique. Les bouteilles vides sur la table continuent de grandir, l'humeur s'améliore. À un moment donné, nous avons atteint la toute dernière bière, tomber immédiatement dans notre lit fatigué et un peu pompette. La musique, ça sonne tout autour des radios, ne nous dérange pas, on s'endort tout de suite.

Le lendemain matin, Hans-Peter laisse le drone voler brièvement, pour prendre de belles photos des îles.

Peu de temps après, Joël et Gris passent avec leurs deux huskies, ensemble on va se promener avec les amis à quatre pattes tenus en laisse. Peu de temps après, nous les laissons sans laisse, mais Frodon ne pense pas que les deux autres garçons soient si géniaux – blessure.

Oskar nous invite à un tour en bateau, très lentement nous traversons le lac et le long de la rivière. Sur les arbres on découvre des iguanes parfaitement camouflés, Les grues se pavanent le long du bord, beaucoup d'oiseaux sursautent des roseaux.

On a l'impression d'être en Amazonie, maintenant il ne manque qu'un seul crocodile – vraiment bien vivre ici 2 Exemplaire im See.

À la fin, Oskar sauve un iguane sans vie de l'eau, le secoue, pour sortir l'eau et le mettre au soleil pour récupérer. Le beau-frère Carlos les rejoint, il voulait vraiment faire un tour de plus avec Henriette – il est bien sûr le bienvenu.

Après un chaleureux au revoir à nos amis mexicains, nous continuons vers la mer. Joël ne le prend pas, nous avec sa moto au MEX 15 accompagner, il veut être sûr, que rien ne nous arrive sur la route (Nous sommes apparemment en territoire de drogue ici ?)

D'innombrables camionnettes viennent à nous sur le chemin de notre espace de stationnement prévu, quads et motos, ça ne veut rien dire de bon ?? En fait, le chemin de la plage est totalement garé, il n'a pas été possible à notre grosse Henriette de passer. Semana Santa est sans doute utilisée par les habitants pour les sorties à la plage, Utilisé pour les pique-niques et le camping à la playa. Nous luttons pour sortir de l'agitation, nous aussi, que la prochaine plage ne sera pas différente. En fait, Las Labradas n'est pas moins chaotique, je suis fier de mon mari, qu'il peut le faire, sortir d'ici à reculons. Nous prenons une décision rapide, passer la nuit sur le parking du musée. A notre demande, si on peut faire ça, nous recevons un amical hochement de tête – très bien. Ici, nous passons très, nuit très calme.

Comme discuté avec le gentil gardien du musée, Allons au musée le lendemain matin: c'est un site unique: ici il y a environ 640 Pétroglyphes, les plus vieux sont finis 4.500 Age. Une petite salle d'information fournit des informations sur les trouvailles, alors vous pourrez même admirer les pierres au bord de la mer. Un lieu magique, où une coulée de lave atteint la mer juste au tropique du Cancer et est un site sacré depuis des milliers d'années. Les habitants de cet endroit ont pu, faire des calculs pour le solstice, symboles du soleil, Des spirales et des personnes sont marquées sur les pierres.

Après ce voyage dans le temps nous continuons – cette fois vers les montagnes. Peu avant notre arrivée à Concordia nous devons encore être un peu embêtés: la descente vers la ville est juste en face du poste de péage, on ne s'en rend pas compte, traverser la gare et payer. 500 Quelques mètres plus loin on tourne vers Henriette, conduire – Qui aurait pensé – directement au prochain poste de péage: et doivent payer à nouveau malgré des discussions difficiles avec Google Translator ?? Sur moi, le don de 15,00 € à la construction de routes mexicaines est définitivement un bon investissement.

Derrière Concordia, nous nous tenons dans un lit de rivière asséché, tout seul et absolument calme.

Le dimanche de Pâques est utilisé, faire fonctionner la machine à laver, Hans-Peter utilise l'eau de lavage pour frotter le sel d'Henriette et laver les vitres, maintenant il fait à nouveau vraiment clair !!

A midi on continue sur l'ancien, presque jamais utilisé MEX40 – une belle route sinueuse – dans la Berge. La route est étonnamment en bon état et peu fréquentée, la plupart des gens utilisent le nouveau, payé MEX40d. Nous le trouvons proche 2.000 Je suis un super endroit dans la forêt, un petit sentiment du Canada monte. On y découvre même un petit sentier de randonnée, les chiens sont contents, pouvoir marcher à nouveau dans des températures agréables et sur le sol de la forêt.

Après une nuit extrêmement calme, nous conduisons la prochaine étape de cette belle route.

Incompréhensible, combien de tours elle fait. On lit quelque part, que ce parcours soit l'un des plus beaux parcours moto du monde – on peut être d'accord avec ça. Après un peu moins 2 heures nous atteignons La Ciudad, une petite ville dans les montagnes, maintenant nous sommes debout 2.700 je suis monté!! Nous nous rendons au camping du Parque National Mexiquillo, un immense parc naturel dans la Sierra Madre Occidentale avec des centaines d'emplacements.

Il y a des formations rocheuses très uniques et (réellement) une belle cascade. Cependant, la signalisation ou. le balisage des chemins une catastrophe, si nous avons de la chance, nous commencerons juste à marcher. En fait, nous atteignons la cascade – quoique sans une goutte d'eau. C'est probablement la saison sèche, aussi les attractions comme la tyrolienne, Les stands de souvenirs et les kiosques sont tous déserts. Juste quelques VTT traversant le parc, déjà à l'entrée, nous avons vu beaucoup de ces véhicules amusants, que vous pouvez emprunter ici. Bien, néanmoins un endroit vraiment sympa avec des températures très agréables.

Le lendemain matin on découvre la jolie, kleinen See und viele weitere Wege durch Wald und Feld. Cependant, nous trouvons le prix de 20,- Un peu cher pour une nuit, Il n'y a rien sur le site autre que des poubelles ?? tant pis, ce qui n'est pas, peut encore être !!

Notre objectif pour aujourd'hui: Durango, l'environ. 520.000 Capitale de l'état de Durango avec une population du même nom. Le centre historique est à l'année 2010 classé au patrimoine mondial de l'UNESCO – nous ne voulons pas manquer ça.

Peu avant la ville, nous passons devant un lieu d'accident, un minibus se trouve sur le toit, Les gens se promènent en criant et confus. nous nous arrêtons, aide avec de l'eau, Couvertures et tapis de couchage, Hans-Peter donne un coup de main, faire sortir le dernier occupant du véhicule. Peu de temps après, la police et l'armée arrivent, les militaires prodiguent les premiers soins et sécurisent le lieu de l'accident. 20 Quelques minutes plus tard, la première ambulance arrive et transporte la femme, qui a été sorti du véhicule pour la dernière fois, un B. Il n'y a rien de plus que nous puissions faire, alors nous avons continué notre voyage.

Arrivés à destination, nous nous dirigeons vers un supermarché, achetez-en un d'abord, répondre patiemment aux questions des nombreux Mexicains émerveillés puis demander, si nous sommes encore ici dans le parking pour 2 – 3 autorisé à rester debout pendant des heures. Aucun problème, donc nous marchons détendus d'ici jusqu'au centre-ville – on aime vraiment ça ici. On a l'impression d'être arrivés dans une ville typique d'Amérique du Sud, la vie colorée peut être vue sur la Plaza de Armas, les églises sont surchargées d'or et de pompe, les halles sont aussi chaotiques qu'avant 40 connaissent depuis des années. Sur un étal de marché, nous dégustons un plat à base de grains de maïs, piments et piment – après la première bouchée notre bouche brûle, il fait chaud comme l'enfer. Pour compenser, on s'offre quelques douceurs après, churros gras – ils sont tout simplement irrésistiblement délicieux. Un petit orchestre se prépare pour une représentation sur le pavillon de musique, les chaises fournies se remplissent très vite. Écoutons la première chanson, alors nous ferons notre chemin du retour. En attendant nous avons déjà reçu une invitation à dîner via Insta – les gens ici sont vraiment super sympas.

On a un peu perdu la notion du temps à cause de toutes les balades en ville, alors dépêchez-vous, atteindre notre camping avant la nuit. Nous ne pouvons pas tout à fait le faire, conduire dans le noir ici est vraiment épuisant et dangereux – apropo, Ai-je mentionné les millions de topes ?, qui apparaissent simplement ici dans chaque rue sans avertissement ?? Ceux-ci sont très courants, bosses sournoises, prendre de la vitesse – très efficace, si vous en manquez un, tu le sens intensément (et l'axe vous en remercie).

Heureusement il y a encore un veilleur de nuit sur le camping et nous déverrouille la porte – nous sommes les seuls invités aujourd'hui. Juste à côté de nous se trouve une grande piscine avec 9 Piscines, en partie avec de l'eau thermale chaude – nous pouvons tout utiliser: Il est trop tard pour nous aujourd'hui, Demain est un autre jour. Le chien domestique Tamara nous a immédiatement rejoints et est resté devant notre porte toute la nuit, il fait aussi le tour du matin avec nous 🙂

Vraiment incroyable: coule en fait déjà contre 8.30 Regardez des familles mexicaines étendues dans la piscine, équipé de tonnes de glacières, Grillades, Matelas pneumatiques, anneaux de natation, enfants et grands-mères!! Les employés sortent des piles de chaises en plastique du hangar, Les enfants sautent directement dans l'eau alors qu'ils sont encore habillés, les hommes installent d'abord les tentes et les grillades, de plus en plus de monde afflue. C'est amusant, désordre chaotique, nous avons quelque chose à regarder toute la journée.

Hans-Peter remplit notre réservoir d'eau – pour cela il a besoin pour le 250 litres de plus 5 les heures – la pression de l'eau n'est pas la plus forte :). Nous avons apporté notre literie et nos couvertures pour chien à la laverie, Août nous voyageons à Karasjok 18.00 horloge tout devrait être prêt. Une journée vraiment détendue, un voisin nous a donné une glace au biscuit, un autre nous en apporte un 2 Sac d'un kilo d'arachides!! La zone se vide à nouveau en fin d'après-midi, une partie de la lessive est faite aussi, nous aurons le reste demain – apparemment tout n'a pas séché. La soirée est utilisée pour une visite prolongée au « Baignoire » , tout seuls nous profitons de l'eau thermale chaude – grandiose.

Jeudi, les 13.04.23 – ça va aux studios de cinéma de Durango!! Au nord de la ville se trouvaient environ 130 tourné des films, Des stars comme Burt Lancaster, Charlton-Heston, Audrey Hepburn et John Wayne l'ont appelé chez eux.

Un petit nous attend, beau parc d'attractions avec une rue principale du Far West. Alles ist sehr hübsch gemacht, de nombreuses boutiques invitent à la flânerie, des photos sont prises avec des cow-boys et des indiens, die Omis und Kinder tragen bunten Federschmuck, sont maquillés et tout le monde s'amuse! Und es gibt noch eine richtig lustige Show, die Indianer und Cowboys nehmen sich selbst aufs Korn (malheureusement on ne comprend pas les acteurs, ce n'est pas grave de toute façon )! Enfin, je vais aussi par un Indien « remorqué », il veut savoir d'où je viens et quand je dis » de l'Allemagne » bekommen wir einen tosenden Applaus.

Nos garçons se sont bien occupés d'Henriette, seule la couette propre est à nouveau abîmée – qui était probablement allongé sur le lit ?? Maintenant, nous devons trouver notre pitch pour aujourd'hui, malheureusement notre Erna nous guide vers un endroit complètement faux. Donc encore 15 kilomètres en arrière, il n'y a tout simplement aucun moyen d'aller le long du chemin. À côté du MEX40 se trouve une grille à bétail, Ça à l'air bon. Henriette est debout au milieu d'une vache ou vache. pâturage pour chevaux, il y a tellement d'espace ici, qu'il n'y a pas de problème. En marchant dans le troupeau, on se sent un peu mal à l'aise, mais les gros animaux à fourrure continuent de mâcher détendus. La nuit, nous avons une vue magnifique sur le Durango illuminé, bien sûr avec un ciel étoilé étincelant.

Au petit déjeuner, la tasse est emportée par l'orage, c'est un peu inconfortable. La suite du voyage est aussi dans ce vent, épuisant dans les rues étroites et les camions venant en sens inverse. Nous nous dirigeons vers le Parque Natural Mexiquillo, où nous avons déjà passé une nuit tranquille sur le chemin. Ici, nous marchons l'après-midi à travers le paysage rocheux bizarre, Frodon pense que le sable est si grand, qu'il roule dedans pendant des minutes et finit par ressembler à un Braque de Weimar – un étui transparent pour la douche extérieure. Assez offensé, il se retire alors dans son lit et boude tout seul.

En fait, les gouttes de pluie tombent sur notre toit la nuit – ça parles de quoi ?? Le matin tout va bien à nouveau: le soleil sort des nuages, nous sommes rassurés. Le matin, nous entendons de doux hurlements de chiens – et trouver une portée de petits chiots dans un terrier. Frodon et Quappo s'enfuient immédiatement, ils doivent avoir peur, qu'ils doivent partager leur canapé avec un autre pote!

Puisqu'il y a encore des vacances de Pâques au Mexique, nous décidons, ne pas continuer à la plage. Nous équipons les plus petits 2. visite de, posez-les ou. une grande portion de nourriture pour chien à maman et je leur souhaite tout le meilleur. Un café rapide, puis nous partons sur la plus belle partie du parcours, conduisez confortablement le long de la route sinueuse et profitez de la vue imprenable. Presque tout le temps, nous sommes à un niveau de 2.500 m, à droite et à gauche, il monte ou descend fortement. une descente. Hans-Peter doit conduire avec concentration, aucune erreur ne sera pardonnée ici. Sur le chemin il n'y a pas d'endroit raisonnable pour la nuit, c'est ainsi que nous nous dirigeons vers le lit asséché de la rivière devant Concordia. Le thermomètre extérieur indique la même chose 10 degré plus, les chaises et les chiens cherchent un endroit ombragé. Dans un dîner en bikini – nous n'avons pas eu ça depuis très longtemps 🙂

Le dimanche matin commence agréablement 25 Diplômé, il fait plus chaud chaque minute. Aujourd'hui, nous voulons conduire à Culiacan, parce que nous sommes détendus dans le temps, prenons la route libre (MEX15 gratuit). Il fonctionne parallèlement au MEX payé 15 (partager), Cependant, il est plus étroit et une seule voie. Notre ami mexicain Joel nous a recommandé le village d'El Quelite, un petit détour par 10 Kilomètres. Le chaos absolu règne juste derrière le grand portail d'entrée: De nombreux stands sont installés à gauche et à droite de la rue principale, les motos se bousculent entre, Bussé, des chevaux et des centaines de personnes – a priori plus rien ne marche !! Il est hors de question de faire demi-tour, il faut passer par là pour le meilleur ou pour le pire. D'une manière ou d'une autre, l'enchevêtrement se défait lentement, les gens sont tous totalement détendus, faites-nous signe et appelez-nous amicalement. Hans-Peter le gère, Sortir Henriette de la foule sans blessure et trouver une place de parking.

A pied avec les garçons on s'aventure dans le chaos, c'est vraiment une très jolie, coloré, village soigné. Les gens sont tous super sympa, Frodon et Quappo se font à nouveau caresser par des petites filles.

Au fond de votre esprit, cependant, se trouve la connaissance, que nous devons encore sortir d'ici – nous ne pouvons pas découvrir une route alternative. Il fait si chaud maintenant, que les chiens traînent leur langue par terre au bout d'une demi-heure – seul le retour à l'Henriette climatisée aide. Fortifié d'une tasse de café, Hans-Peter ramène notre fille en toute sécurité sur la route principale – tél, c'était intense.

Le reste du parcours se passe bien, mais ici aussi, une concentration totale est requise de la part du conducteur, puisque la route n'a pas d'accotement à droite et à gauche. Nous trouvons notre parking Walmart dans notre sommeil, très bien, si vous connaissez déjà une ville. La soirée au Parque Las Riberas est très amusante, c'est là que les citadins passent un agréable barbecue le dimanche soir, jouer, Cycle, rire, parler, boire, Essen …….. – tu te sens bien ici! La cuisine est froide aujourd'hui, On achète une délicieuse pizza chez Walmart, tout le monde aime ça, les garçons reçoivent le dernier morceau comme gâterie au coucher – ils feraient même un saut périlleux pour ça.

Le lundi, nous plaçons un approvisionnement- et jour de repos. Hans-Peter a acheté quelques petites choses à la quincaillerie (y compris les colliers de serrage), ils sont en cours d'installation. Nous avons eu le problème lors du remplissage d'eau, que nous sommes sur la première piste 15 – 20 litres perdus. Maintenant, mon mari a installé le tuyau de surpression avec le collier de serrage, donc ce problème est résolu.

En fin d'après-midi, nous promenons les chiens dans notre parc préféré, malheureusement j'ai mis mes chaussures nouvellement achetées aujourd'hui – qui se venge immédiatement: au bout d'un moment je le sens, que les bretelles frottent, Je dois combler les taches avec du plâtre et de la vitesse, de toute façon j'ai deux grosses cloques!! Arrivés à notre café on mange un petit quelque chose, les chiens s'endorment profondément sur leurs couvertures. La nourriture est délicieuse, cependant, nous devons nous demander, celui-là pour 2 Les plats peuvent prendre tellement de temps – mais pas de problème, nous avons le temps.

Le réveil doit être allumé le mardi, Août nous voyageons à Karasjok 8.00 nous voulons être dans l'atelier. Bien sûr, nous sommes 5 minutes avant à la porte, étonnamment (Je ne m'attendais pas à ça) les employés sont déjà là et Henriette est soignée immédiatement. Le troisième Airdryer est remplacé, ainsi que le capteur de vitesse de la roue arrière droite.

J'vais faire un tour avec les mecs du quartier voisin, c'est vraiment épuisant pour les deux, parce qu'au moins trois chiens courent vers nous en aboyant de chaque maison. Pour se détendre, on cherche sa place sur le terrain de sport, il y a de l'eau ici, la nourriture et la sieste de l'après-midi. Rapports de Hans-Peter via WhatsApp, que le module de commande est défectueux, la nouvelle pièce ne sera pas disponible avant demain – aussi, une nuit de plus chez walmart. Le soir nous nous dirigeons vers notre café pour la troisième fois, car les chiens ne sont pas admis dans les autres restaurants autour. Quoi qu'il en soit, le service est très heureux, que nous venons à elle pour la troisième fois. Nous avons presque fini le petit menu, tout était très délicieux.

Le mercredi on fait tous une grande balade à Culiacan, découvrez de très beaux, des halles très authentiques, autres églises et parcs. Nous sommes impressionnés, que tout le monde ici est aussi extrêmement enthousiaste à propos de nos garçons, nous entendons de tous côtés « très jolis, grands chiens ». Un dernier café glacé dans le nôtre « lieu de rendez-vous », puis l'employé de l'atelier MAN vient en fait sur le parking Walmart et nous apporte le tout nouveau module de commande- quel service!

Donc, maintenant tout est fait, nous remballons et partons. Nous avons demandé à notre ami mexicain Joel, si nous pouvons passer une autre nuit sur sa belle île – la réponse est venue tout de suite, que nous sommes bien sûr les bienvenus. Nous sommes donc une heure plus tard devant la porte, Oskar arrive tout droit sur sa moto et déverrouille la porte. Il nous accueille si chaleureusement, que nous nous sentons vraiment les bienvenus, autour d'une bière on parle un peu plus de charabia ensemble.

Après les dernières nuits dans le parking Walmart, c'est de la pure détente: à part le chant des oiseaux, vous n'entendez rien ici, nous sommes ici tout seuls.

20.04.2023: aujourd'hui nous pouvons faire le nôtre 38. célébrer l'anniversaire de mariage – incroyable, à quelle vitesse les années ont passé. Oskar vient avec moi le lendemain matin 2 grosses noix de coco, un adieu très chaleureux. Continuer vers la plage, à El Pozole on en trouve un désert, kilomètres de plage, Cependant, nous ne pouvons pas faire tout le trajet en voiture. – sinon nous creuserions immédiatement. Alors, par sécurité, on se tient un peu plus loin de la plage, il suffit de marcher sur la route. Le soir, pour célébrer la journée, nous dégustons une bouteille de vin blanc de la cave Cetto et faisons une tournée.

Le lendemain matin, un habitant du village passe, il se plaint, que nos chiens avaient effrayé ses enfants et nous exhorte, quitter l'endroit. Les garçons sont généralement détendus et gentils, mais quand nous restons au même endroit pendant quelques heures et que quelqu'un arrive de nulle part, les attaquer. Les enfants ont couru très près de notre voiture hier, alors les deux chiens se sont précipités en avant et ont aboyé après elle. D'un côté on se réjouit de cet instinct d'éveil, par contre parfois c'est tout bête – aucune idée, comment nous devrions enseigner aux garçons le bon chemin ??? Sur moi, nous voulions continuer, donc on emballe plus vite.

Il y a de l'eau à Mazatlan, la ville est censée être belle aussi, alors on y dirige Henriette. Nous ne pouvons pas nous garer au premier magasin, le deuxième chargement d'eau fonctionne très bien. Le vendeur nous aide, pour assembler notre tuyau, la pression de l'eau est super, ainsi sont après 10 minutes les deux réservoirs sont à nouveau pleins. Maintenant on contrôle le parking du Malecon (promenade) un – on voit de loin, qu'un immense cirque a installé ses chapiteaux sur cette place. Le préposé au stationnement ne nous laisse pas entrer dans le parking d'en face – Nous ne savons pas pourquoi ?? Afin de ne pas déclencher un chaos total de la circulation, Hans-Peter continue simplement sur la route le long de la plage. Cela nous permet de nous faire une idée de la ville, voir l'énorme, Plages bondées, touristes partout, ça rappelle un peu Majorque!

L'itinéraire nous emmène tout autour de la péninsule, sur lequel Mazatlan est construit autour, un tour de ville parfait. On ne veut plus se garer, l'agitation nous a suffi depuis la cabine du conducteur. Ein paar Kilometer hinter der Stadt finden wir ein Plätzchen nach unserem Geschmack mitten in einem Kokospalmenhain, directement sur la plage, pas une âme au loin. Ici on se met à l'aise, marcher le long de la plage, plongez dans l'océan Pacifique merveilleusement rafraîchissant!

C'est bientôt décidé, que nous resterons ici un jour, Il faut juste faire attention aux coups de soleil ici! Le dimanche nous appelons à la maison, appris la mort du cher père Ernst de Markus, qui est décédé subitement paisiblement. Cela nous rappelle encore, que notre belle vie ne peut pas être tenue pour acquise, nous devrions profiter de chaque jour.

D'autres plans de voyage sont en attente: il y a encore tant à voir, donc nous décidons avec le coeur lourd, quitter l'idylle des cocotiers. On remballe vers midi, c'est de retour sur la route. Deux heures plus tard, nous atteignons Acaponeta, un petit, très délabré, lieu d'origine. Nous roulons facilement sur la grande route principale, mais la route devient de plus en plus étroite, les câbles plus bas – on aurait pu deviner !!!! Avec beaucoup de difficulté, nous trouvons notre chemin hors du chaos (Pour aggraver les choses, il y a encore beaucoup de rues à sens unique ici) sortir et peut garer Henriette au bord de la route. Nous explorons la ville de manière détendue 12 jambes, flâner sur la place de l'église, trouvez le « Malecón », voir le premier perroquet en vol libre et sont un peu choqués, comment délabré, tout est pauvre et minable ici.

Comme avant, les gens sont partout, super sympa avec nous, bien sûr, nous attirons l'attention avec nos deux visages de fourrure comme des chiens colorés. On mange quelques tacos au bord de la route sur la place de l'église – ils sont éventuellement disponibles avec du boeuf- ou viande de poulet, au chorizo ​​ou abats. Nous testons avec audace toutes les variétés !!! Donc pas de cuisine aujourd'hui, plein nous rentrons à la maison. Nous ne voulons pas rester au bord de la route du jour au lendemain, c'est comme ça qu'on conduit 2 À des kilomètres de la grande station Pemex. Beaucoup de camionneurs se garent déjà ici, alors rejoignons-nous. Bien sûr, ce ne sera pas une nuit tranquille, pourtant on dort profondément.

Après le petit déjeuner, nous continuons notre voyage, sur la MEX15 gratuite vers San Blas.

Le paysage change à chaque kilomètre, ça devient de plus en plus vert. Des centaines de manguiers se dressent à droite et à gauche, entouré d'immenses cocotiers, bientôt nous sommes en pleine jungle. La rue devient de plus en plus étroite, La taille d'Henriette est particulièrement gênante, les branches balayent constamment notre toit. De temps en temps ça claque aussi violemment, quelques mangues se sont posées sur le toit.

Après plusieurs lacets et de nombreux éraflures sur les flancs, nous atteignons El Cora, un mini-village avec de jolies guirlandes de drapeaux suspendus au dessus des rues. Deux guirlandes atterrissent malheureusement sur notre toit, tellement décorés que nous atteignons notre destination: le bout de la rue au milieu de la mangue- et plantation de jacquier. De là, il y a une petite randonnée vers les cascades de Cora, nous sommes ravis, si ce voyage aventureux en valait la peine ?? Immédiatement après, nous voyons la cascade, nous descendons rapidement et trouvons de magnifiques piscines naturelles, où l'on peut très bien nager. Oui en effet, ça valait vraiment le coup ! Sur les pierres chaudes nous séchons en quelques secondes, bientôt nous devons être clairs à nouveau, eau fraiche. Les garçons sont contents aussi, que l'eau n'est pas trop salée. De retour à la voiture, nous écoutons le chant des grillons et le chant des oiseaux, sinon tu n'entends rien.

Le lendemain passe (encore) complètement différent de ce qui était prévu: en fait, nous voulions rouler lentement après le petit-déjeuner – mais du coup on est garé !! Avant nous ont eux-mêmes 2 voitures placées, nous ne pouvons pas les dépasser, sans les branches d'un arbre, qui s'avance profondément dans la rue, l'histoire d'Abzu ?? Aussi, profitons-en au mieux et restons ici un jour de plus!! Le temps est utilisé, réserver le vol vers l'Allemagne pour juillet, Après une longue recherche, vous trouvez en fait une offre appropriée à un prix raisonnable. Nous étions surpris, puisque les vols des USA vers l'Allemagne sont bien plus chers que dans le sens inverse. Cela a probablement quelque chose à voir avec les impôts, qui sont plus élevés aux États-Unis – J'ai encore appris quelque chose.

Dans l'après-midi, nous retournons à notre piscine, se rafraîchir et se doucher directement dans la cascade – génial. Le soir on gare Henriette par sécurité, pour ne pas se garer à nouveau le lendemain – suis à la gare.

Après un petit déjeuner détendu le lendemain matin, nous reprenons la route, On parle maintenant d'Henriette comme d'une cueilleuse de mangue, tant de fruits sont tombés au broutage des branches de notre toit. Aussi les prochaines rues ne sont pas destinées à des géants aussi grands que nous, les branches pendent toutes très bas. Après une balade dans la jungle, les ravitaillements sont réapprovisionnés à Las Varas, Henriette a fait le plein et fait le plein de bière. Par un petit détour nous arrivons à Altavista, un ancien site archéologique, qui n'est plus entretenu.

Après une randonnée de 3 kilomètres nous trouvons réellement ce site, de vieilles enseignes pointent vers les pétroglyphes. Sur 2.000 Des trouvailles ont été découvertes ici, daté des années 2.000 – 2.300 avant Jésus-Christ. La tribu méconnue des Tecoxquin vivait ici et ces éléments symboliques de la vie quotidienne, comme le grain, régénération, Fertilité et santé gravées dans la pierre de lave. De plus, des offrandes pour de bonnes récoltes ont été et sont faites ici, sur un rocher nous avons trouvé des choses étranges comme de la confiture, cigarettes et bonbons ?????

A la fin nous nous retrouvons 3 mexicain, se baigner dans un petit trou d'eau ici, écouter de la musique et avoir construit un petit autel ? Ils nous donnent des fèves de cacao torréfiées, ça a vraiment bon goût. c'est vraiment particulier, lieu mystique.

Sur notre chemin, nous découvrons de nouveaux types de fruits: fruit de la passion, Cheremoyas et Guanabanas – tout semble prospérer dans ce climat tropical.

À notre stand il n'y a plus que 18 Kilomètre – en fait tout s'est détendu. Cependant, nous avons besoin pour l'étirement 1,5 les heures – la route est à nouveau un défi: fra, branches d'en haut, nids de poule d'en bas, sinueuse et ça monte aussi fortement- et en bas – pleine concentration du chauffeur et d'Henriette. Juste avant la tombée de la nuit, nous arrivons au « Sources chaudes Nuevo Ixtlán » un: Des piscines chaudes au milieu de nulle part – incroyable. Jetons un coup d'œil ici, décider mais, essayez les baignoires demain.

Journée spa le jeudi: juste après le petit déjeuner nous allons à l'entrée, obtenir pour 3,- €/personne un bracelet et possibilité de choisir une piscine pour toute la journée. Notre piscine est près d'Henriette, pour que les garçons puissent regarder détendu. pendant que nous trempons. Notre piscine est vraiment très chaude, température du bain parfaite! Tout au long de la journée nous sautons dans l'eau de temps en temps, se sentir vraiment pur. Cependant, c'est tellement poussiéreux dans le parking et sur les sentiers, Que nos pieds sont à nouveau sales. Tous les mêmes, c'était une journée très relaxante.

Le vendredi matin est déjà très chargé: micros avec 8 L'équipage de l'homme se tient à côté de nous, videz d'abord toutes les provisions pendant une demi-heure, Chipstüten, Bouteilles de coca, les chaises et congélateurs en plastique obligatoires de la voiture. Maman fait immédiatement des sandwichs pour tout le monde – le sauveteur est également servi. Ensemble avec tous les vêtements, nous allons dans les piscines, la musique mariachi sonne du haut-parleur. Beaucoup de Mexicains – surtout les femmes – avoir quelques kilos en trop sur les hanches, mais personne n'arrête ça, peau tendue, porter des t-shirts courts, tous sont très sûrs d'eux et fiers de leurs chiffres.

Nous remballons lentement et rentrons avec un peu d'inquiétude – les 2 Les kilomètres jusqu'à la route principale étaient extrêmement difficiles, une grosse branche en particulier pendait au milieu du chemin ?

Hans-Peter le gère avec un travail de précision, passer sous le toit vert et nous poussons un soupir de soulagement. Cependant, nous nous sommes réjouis trop tôt – le suivant 20 Les kilomètres ne sont pas beaucoup mieux, encore et encore nous nous heurtons aux branches pendantes. La route serpente rapidement 1.500 Mètre, tout est vert, Les agaves poussent dans les champs.

Après ce qui semble être une éternité, nous en arrivons enfin à un « route normale » – quelle aubaine. Un Mexicain nous a donné le pourboire pour les sources thermales, que nous devrions jeter un coup d'œil à la petite ville de Saint-Sébastien, un petit, joli village de montagne – un soi-disant pueblo magico – avec l'âge, substance de construction très typique. Dans la ville magique (endroit magique) est une ville du Mexique, qui a été primé comme particulièrement digne d'intérêt en raison de son caractère typique et soigné. Total là 121 ville magique – donc nous avons encore beaucoup à faire !

Heureusement il y a une bonne option avant d'entrer dans le village, Parking Henriette dans une rue large à l'ombre. Nous nous promenons ensemble dans le village, c'est vraiment très sympa, dans certains bâtiments, cependant, a été récemment 300 années rien n'a changé ou. rénové. Dans un petit café, nous dégustons un délicieux café et un gâteau au chocolat inhabituel.

Petite pause à l'Henriette, nous partons pour le prochain restaurant pour le dîner. Aujourd'hui on passe un très bon moment (dîner d'anniversaire de mariage en retard), Hans-Peter commande un steak extrêmement délicieux, J'essaye le burger mexicain, accompagné d'une bouteille de vin rouge, terminer par un cappuccino. Les garçons sont contents de l'os restant, ils ont aussi l'air très contents de la soirée maintenant.

Avant de retourner à la mer, il y a une petite randonnée jusqu'à un joli point de vue. Le sol sur le chemin est extrêmement poussiéreux, on sent, que tu marches sur de la poussière de ciment. Bien sûr tout est poussiéreux dans l'Henriette aussi, la poussière se dépose dans chaque fissure – vraiment nul!

Dans l'après-midi, nous atteignons Puerto Vallarta, une ville portuaire- et bastion touristique. Ici en ville, le parking Walmart semble être la meilleure option. Après le shopping, nous nous promenons vers le centre-ville, admirer l'immense, pleine plage, admirer une fête de mariage parée et l'attendre avec impatience, que nous n'avons pas 2 semaines de vacances à l'hôtel réservées. On découvre encore une fois, que nous les solitaires, des endroits cachés mieux que l'agitation de la ville.

Après une nuit plutôt bruyante, nous échappons à l'agitation de la ville. En fait on voulait faire le plein d'eau, mais le magasin d'eau enregistré dans iOverlander n'existe probablement plus – pas de boyau, alors il est temps d'économiser l'eau. La rue mène à travers le centre et la vieille ville de Puerto Vallarta, la ville est vraiment animée ici, coloré et joli. Plus loin le long de la plage, il y a d'innombrables complexes hôteliers, en partie super moderne et super chic, en partie un peu vieux et très simple. À un moment donné, nous avons laissé le dernier hôtel derrière nous, la route, qui est inhabituellement large selon les normes mexicaines, mène à l'intérieur des terres et monte en pente raide.

À 120 kilomètres nous tournons à droite sur un chemin de terre – et voilà, nous sommes déjà sur une très belle plage. Deux, trois autres micros sont ici, famille mexicaine profiter du dimanche. L'après-midi un local vient nous voir, demande, ce que nous faisons, comment nous allons et comment nous aimons le Mexique. Plus tard, il nous apporte une assiette de ceviche de camaron frais – encore une fois un si beau geste !!! Avec un bon feu de camp (Hans-Peter a ramassé du bois flotté) Finissons doucement la journée.

Nous passons aussi le premier mai ici, seuls quelques pêcheurs et huîtriers passent. On peut bien observer les pêcheurs, ils reviennent après une heure de plongée avec de gros sacs remplis d'huîtres – Les arbres de Noël et les lumières brûlent partout, qu'on ne les aime pas !!

La journée se passe à la nage, lire, Marcher sur la plage, la cuisson du pain, cuisine et quelques travaux de bureau. Le soir il y a un magnifique coucher de soleil, puis un bon feu.

02.05.2023 – il y avait quelque chose ?? Oui fait, aujourd'hui c'est l'anniversaire – beau 65 ans je peux être dans ce beau monde – Je ne peux pas y croire moi-même, que je devrais en fait être si vieux :)! Je suis surpris par un délicieux coeur d'anniversaire, chers appels de la famille suivent, la moitié de la journée passe vite. Je viens de sauter dans l'eau, alors c'est emballé, nous voulions faire quelques kilomètres de plus aujourd'hui. Nous n'aurons plus d'eau, les maisons d'eau approchées n'ont toutes aucun tuyau et aucune possibilité, pour connecter notre tuyau. À Arroyo Seco, nous trouvons une grande plage, mais pas un endroit vraiment agréable pour se tenir debout. A la fin nous nous arrêtons sur un petit bout de terrain entre deux maisons. Les maisons ont toutes l'air plutôt désertes et inhabitées, plutôt étrange. A la fin de notre balade sur la plage nous tombons sur un petit lagon d'eau douce – pour le plus grand plaisir de nos nez poilus - enfin nager à nouveau et boire en même temps. Pour célébrer la journée, une bouteille de vin mousseux est ouverte – malheureusement il y a eu une dispute inutile avant, donc la journée se termine un peu terne. Bien sûr, cela ne peut être évité, que tu te disputes parfois – pas étonnant, nous sommes ici 24/7 ensemble et il n'y a personne d'autre, où vous pouvez parfois exprimer votre frustration.

Pendant ce temps, il fait déjà incroyablement chaud au petit déjeuner, tout le monde cherche un endroit ombragé. Même le chemin vers l'eau devient difficile, le sable est brutalement chaud. Parce que l'endroit n'est pas si génial, Faisons nos valises et continuons à chercher. Sur le chemin nous passons des kilomètres de bananeraies, plus tard les plantes changent, mais ce ne sont pas des papayes. Nous essaierons à nouveau à Manzanillo, prendre de l'eau – mais le magasin répertorié dans iOverlander ne semble plus exister – c'est vraiment maudit.

Alors c'est parti pour la plage, mais là aussi on est déçu: l'accès est bloqué, nous ne pouvons pas conduire dans le sable, On ne veut plus se garer à côté des maisons. En sortant de l'impasse, Hans-Peter remarque, que le pneu avant a peu d'air – nous retenons notre souffle – j'espère que nous n'avons pas d'enregistrements ??? Henriette est garée dans la rue, Hans-Peter pompe de l'air dans les pneus, on croise les doigts -. en fait, tient l'air, tout va bien. Nous vérifions brièvement la carte, il n'y a plus de place raisonnable ici sur la plage, donc nous allons plus loin dans les terres aujourd'hui. Après aventureux 3 Des kilomètres de route d'accès avec de nombreuses branches sur le toit nous atteignons La Piedra Acompanda – c'était probablement un camping ou un établissement balnéaire à une époque antérieure. Magnifiquement situé sous les palmiers, tout autour des ruisseaux, où vous pouvez nager. Cependant, l'eau n'est pas exactement rafraîchissante, c'est plus comme la température de la baignoire. Malgré cela, L'eau douce est vraiment agréable, ça promet un calme, devenir une nuit tropicale !!

Même si l'endroit est vraiment sympa, nous devons continuer: notre réservoir d'eau ne montre que 5 Litre an. À Colima, il devrait y avoir une maison d'eau avec un tuyau, tellement là. Nous avons de la chance cette fois: nous trouvons le magasin, c'est ouvert et le gentil propriétaire évoque un tuyau – nous sommes sauvés. Maintenant nous sommes détendus, premier trajet vers la petite ville de Comala (aussi un publico magico), se promener sur la place de l'église, puis nous garons confortablement notre petite maison au Walmart et jetons un coup d'œil à Colima à pied.

Une ville vraiment sympa, carie, selon, joyeux – nous aimons ici. Il y a une cervezeria sur la jolie place de l'église, qu'il faut tester, il y a même une bière blanche au menu. Ça n'a pas le même goût qu'à la maison, mais en quelque sorte délicieux. C'est 18.00 L'horloge et le thermomètre montrent toujours 30 Diplômé, dh. tu dois boire beaucoup !!!!!

Le prochain plan est en attente: il n'y a vraiment pas grand chose à faire dans la chaleur, les chiens ne peuvent pas marcher sur l'asphalte ?? En fait, nous voulions aller au volcan Fuego de Colima – mais les chiens ne semblent pas être autorisés dans le parc national et Henriette semble trop grosse pour les sentiers ??? Aussi, changement de plan, nous venons de monter dans les montagnes jusqu'à Mazamitlan. Sur le chemin, nous voyons le volcan du livre d'images. et beaucoup de camions de canne

Mazamitlan est aussi un Pueblo Magico, dans les montagnes 2.234 m d'altitude – ici il n'y a que 28 Diplômé – vraiment relaxant!! L'endroit est célèbre pour ses forêts de pins et son artisanat en bois. Semble être un véritable hotspot touristique, il y a d'innombrables magasins de vêtements, chaussures, Des souvenirs, bonbons, Tequila………., beaucoup de stands de nourriture, Les cafés, bars et restaurants.

Après une longue promenade dans les ruelles, nous nous régalons d'une délicieuse bière et regardons l'agitation tout autour. A un moment j'ai des frissons (Bien sûr, je n'ai pas de veste avec moi, personne ne pouvait compter dessus ?), nous nous dirigeons vers notre maison à pas rapides. La nuit est rafraîchissante, nous dormons tous comme des bûches.

Samedi, les 6. Peut, à titre exceptionnel, aujourd'hui, il y a des petits pains frais directement d'une petite tienda au coin de la rue. Aujourd'hui, nous voulons voir les pélicans blancs à Petatan, un mini village de pêcheurs sur le lac Chapata. La route y est à nouveau aventureuse – très serré, à droite et à gauche ça descend tout droit la pente, de larges camions de canne à sucre viennent vers nous. A midi nous arrivons au village, marcher dans les ruelles délabrées, attendre sur la plage l'arrivée des pélicans. Les pêcheurs jettent toujours par ici 15.00 horloge les déchets de poisson de la journée dans l'eau et une grande colonie de pélicans blancs est heureuse de l'alimentation. Cependant, nous ne voyons qu'un seul oiseau, sinon de loin pas de pélican ??

Après une heure de sieste on demande au cuisinier au stand de tacos: elle nous explique, que les pélicans sont tous partis et ne reviendront qu'en octobre – blessure, c'est trop long pour nous d'attendre :).

Quelques kilomètres plus loin, nous voulons aller à notre emplacement choisi quelque part entre les champs. Notre GPS et Google nous conduisent sur les chemins les plus insolites: à travers d'énormes dépotoirs, chemins de terre étroits et petits ponts inadaptés. Hans-Peter doit tourner Henriette deux fois dans un espace confiné, une fois que le béton s'effondre sous nous, Dieu merci, Hans-Peter réagit super vite, accélère vraiment et parvient juste à s'en remettre. Après ce moment de choc, je me suis senti un peu mal au ventre. Avec difficulté nous revenons à la route principale, décidez-nous, 10 kilomètres de retour et de là pour arriver à notre destination. Nous ne pouvons pas tout à fait le faire, mais on peut garer Henriette ici au bord de la route, tout semble calme et paisible. Au cours de la ronde du soir, Frodon se glisse accidentellement dans un trou d'eau profond, il ne peut pas sortir seul – avec la laisse et une secousse il est de retour au sol – totalement fait avec le monde. Aussi, aujourd'hui n'était vraiment pas notre meilleur jour !!!

Pour compenser, un Mexicain passe le soir sur son tracteur, descend, charabia un peu avec nous, nous accueille dans son pays. Prenons une bière ensemble, il n'arrête pas de souffler, nous mangeons notre dîner sous un ciel étoilé avec des grenouilles coassant.

Après les mauvaises expériences d'hier, nous allons rouler sur l'Autobahn aujourd'hui – peu importe ce qu'il en coûte. La route est en fait en très bon état selon les normes mexicaines et nous pouvons la gérer 230 Kilomètre en 4 les heures. Nous ne payons pas de péages – apparemment nous avons habilement contourné les péages ??

Contre 16.00 horloge nous sommes à notre destination: l'énorme, 20 je suis bon, 80 Des tonnes de statue de Jésus lourd Cristo Rey sur une montagne de 2.579 m au-dessus de Guanajuato. C'est un spectacle sans pareil: Bus après bus se débattent sur la route sinueuse super raide. nous venons de suivre, jusqu'à ce que nous arrivions au sommet – ici c'est le chaos absolu de la circulation- les bus laissent les gens dehors- et entrer, les prochains bus attendent patiemment à l'arrière, jusqu'à ce qu'il y ait un moyen, aller quelques mètres plus loin. Le virage se fait en haut de la plateforme, garé le long de la rue, des milliers de personnes gambadent entre – et tout est détendu, personne ne klaxonne ou n'est ennuyé – un spectacle absolument époustouflant. À un moment donné, nous avons également garé Henriette sur le côté, courir vers la statue, prenez quelques photos et promenez-vous dans le vent fort devant les millions de nourriture- et stands de souvenirs.

Nous regardons avec intérêt, ce qui est proposé ici et sur un stand on achète une spécialité particulière: aras, un petit pain à l'avocat, couenne de porc croustillante, Jus de lime et salsa épicée ?? Ça a l'air délicieux, mais avec photo, Le chien et le sac à main sont difficiles à manger – alors nous courons vers la voiture avec notre butin. Nous nous garons brièvement dans un coin plus calme, le chignon est déballé: malheureusement le jus de citron a ramolli le zeste, plus rien n'est croustillant – blessure !!

Le soir c'est calme sur la place, tous les bus, Les voitures et les gens disparaissent, Nous sommes tous seuls. On entend un beau bruit depuis longtemps: Les gouttes de pluie éclaboussent sur le toit, accompagné de tonnerre et d'éclairs !

Les lundis sont très détendus ici, seuls quelques bus isolés trouvent leur chemin. On prend notre temps, prendre le petit déjeuner en toute tranquillité, écrire site web, trier les photos. Plus tard, nous nous dirigeons vers Guanajuato, une vieille ville d'argent, les 1989 inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO. Je suis 18. Au 19ème siècle, la ville était le plus grand producteur d'argent au monde, c'était donc l'une des villes les plus riches du nouveau monde. En raison des riches gisements d'argent, la ville s'est énormément développée et a été 19. Siècle la troisième plus grande ville de l'hémisphère occidental. Dans un bassin étroit 2.050 m d'altitude est la ville coloniale, maisons peintes de couleurs vives, coincé sur la pente, façonner le paysage urbain.

D'un tunnel, qui seulement avec une hauteur de 3,80 m est passable, nous avions lu avant – là, et c'est le tunnel vers lequel nous nous dirigeons!! Une Mexicaine attentionnée nous arrête peu avant, nous avons donc pu faire demi-tour juste à temps. Le seul moyen d'accéder à notre parking est via le « Autoroute panoramique » – un « réellement » beau, route sinueuse étroite avec une vue magnifique, qui fait le tour de toute la ville. Pourtant, cette petite route est un cauchemar pour notre Henriette: nous sommes juste trop haut, le chaos de l'électricité- et le câble téléphonique est un demi-mètre trop bas. Très souvent, nous avons des contacts avec l'ennemi, ressemble à un bus pour nous, qui se fixe sur la ligne aérienne. Nous suons sang et eau, la piste ne veut tout simplement pas se terminer, encore une fois on fait fausse route, il faut tourner dans cet enchevêtrement. Avec de la chance, nous n'arracherons aucun câble, arriver en toute sécurité au parking. Il est maintenant temps de respirer profondément et de laisser tomber le niveau d'adrénaline.

Après le retour à la normale de la respiration, allons faire un tour en ville. Cet endroit te jette immédiatement un sort: il y a une atmosphère colorée dans les rues pavées étroites, désordre heureux, Les stands de nourriture sont partout, tout le monde vend ça, tout ce que le jardin a à offrir, les rues disparaissent soudainement dans des tunnels, les bâtiments sont merveilleusement colorés, les églises et les palais témoignent de l'immense richesse ancienne. On se laisse dériver, découvrir la grande halle, cathédrale, théâtre, nombreux petits espaces verts, de magnifiques édifices coloniaux et d'innombrables églises.

A la tombée de la nuit il y a un immense spectacle en plus de ça: un cortège avec des véhicules décorés de couleurs vives, danseurs en costumes de plumes exotiques, des fanfares très bruyantes passent devant la basilique Colegiata de Nuestra Senora. D'énormes bouquets de fleurs et des statues de Marie sont sortis des véhicules et emmenés à l'église, un prêtre se tient près de l'escalier, prend des photos avec le téléphone portable et asperge le tout d'eau bénite ?? Nous n'avons aucune idée, quel genre d'événement est-ce ????

Très impressionnés et presque sourds, nous échappons à l'agitation, trouve nous un gentil, petit resto, où nous pouvons tous nous détendre. Nos potes poilus sont totalement foutus, dorment également profondément sur leurs couvertures. Après un délicieux repas et des boissons, nous retournons au parking. Nous sommes accueillis par une meute de chiens, qui se sent dérangé par nous – erst einmal wird eine Stunde bellend protestiert. Tous les mêmes, wir sind so platt, dass wir problemlos einschlafen.

Bei schönstem Sonnenschein machen wir uns am nächsten Morgen auf den Weg zum Museo de las Momias – ein sehr besonderes, skurriles Museum. Hier werden eine Reihe von natürlich mumifizierten Körpern, die während eines Ausbruchs der Cholera 1833 beigesetzt worden waren, ausgestellt. Die zahllosen Toten bestattete man in Massengräbern, um eine weitere Ausbreitung der Seuche zu verhindern. Doch irgendwann ging der Stadt der Platz für all die Toten aus, also ließ man sich etwas einfallen. Eine Grabsteuer wurde eingeführt und wenn eine Familie sie drei Jahre lang am Stück nicht zahlen konnte – und das kam nicht selten vor – wurden die sterblichen Reste einfach wieder ausgegraben und vom Friedhof entfernt. Durch den extrem trockenen, mineralsalzhaltigen Boden waren die viele Leichname mumifiziert, Haut und Haare blieben erhalten. Einige von ihnen waren anscheinend lebendig begraben worden, ihr schmerzhafter Gesichtsausdruck durch die Mumifizierung eingefroren, ein etwa 6 Monate alter Fötus gilt als kleinste Mumie der Welt. Die zahlreichen Mumien, die im Laufe der Jahre ausgegraben wurden, bewahrte man in einer unterirdischen Leichenhalle auf. Und irgendwann kam wohl jemand auf die Idee, diese Mumien auszustellen ??

Mexikaner haben einen besonderen Umgang mit dem Tod, völlig unbeschwert wandern Familien mit samt ihren kleinen Kindern durch diese etwas makabere Sammlung.

Wieder unter den Lebenden stürzen wir uns nochmals ins Getümmel der Stadt, erforschen Tunnels und freuen uns an diesem besonderen Städtchen. Bislang ist das für uns die schönste, bunteste mexikanische Stadt auf unserer Reise, man wird überrumpelt von Gerüchen, Farben, Menschen und Bauwerken.

Gegen Mittag steuern wir Henriette auf der Hauptstrasse heraus, fahren rund 80 Kilometer bis nach Dolores Hidalgo. Auf einem einsamen Feldstück finden wir ein ganz ruhiges Plätzchen, genießen einen spektakulären Sonnenuntergang und eine sehr, nuit très calme.

Wieder gut erholt, steuern wir unser nächstes Ziel an: San Miguel de Allende, ll. Reiseführer ein unbedingtes Muss für jeden Mexiko-Besucher. Unterwegs machen wir einen kurzen Stopp beim « Pueblo Fantasma » – ein komischer Ort, an dem Unmengen von Kunstobjekten produziert und verkauft werden. Viele Sachen gefallen uns super gut, es gibt Tonnen von einzigartigen Holztischen, Bilder, Statuen, Möbel, Theken, Eisenwaren, Kitsch – einfach gigantisch. Man kann hier unbehelligt stöbern, ein paar Künstlern beim Arbeiten zusehen und staunen.

Nach den schlechten Erfahrungen in Guanajuato parken wir Henriette in San Miguel auf einem Supermarkt gleich an der großen Umgehungsstrasse. Die Idee stellt sich als perfekt heraus: wir erreichen unser Ziel ganz einfach, der Platz ist riesig, Wachmänner sind Tag und Nacht im Einsatz und nach einem Fußmarsch von 20 Minuten sind wir auch schon mitten in der Stadt. Der Ort ist wirklich ausgesprochen hübsch und scheint nur aus netten Restaurants und tollen Klamottenläden zu bestehen. Ich frage mich, wer hier überall essen und einkaufen soll – das Angebot ist einfach unfassbar. Wir schlendern durch die engen, kopfsteingepfasterten Gassen, machen ein Päuschen auf dem Kirchplatz, trinken einen Hugo, – da wir irrtümlich in einer Weinstube gelandet sind, obwohl wir eigentlich einen Kaffee trinken wollten.

Weiter geht es durch die vielen Gassen mit Millionen von Restaurants, Cafes, Barres, Galerien, Kunstgewerbe und exklusiven Modegeschäften. Der Reiseführer klärt auf: San Miguel ist ein Lieblingsort der Amerikaner, viele haben sich ganz oder mit einem Zweitsitz niedergelassen. Auch preislich ist hier alles an die amerikanischen Kunden angepasst, es ist absolut sauber, kein Fitzelchen Papier liegt auf dem Boden. Es ist wirklich sehr hübsch – aber es passt irgendwie nicht zu Mexiko ??? Auf dem Rückweg zu unserem Parkplatz kehren wir noch ein, essen lecker und bekommen sogar noch ein Gratisgetränk – weil heute Muttertag ist. In Mexiko wird der Muttertag immer am 10. Mai gefeiert, alle Mamas haben an diesem Tag frei und werden zum Essen ausgeführt, Blumensträuße werden natürlich an allen Ecken verkauft.

Am nächsten Morgen statten wir dem Supermarkt einen kurzen Besuch ab und kommen aus dem Staunen nicht heraus: hier gibt es einfach alles an Delikatessen, was man sich nur vorstellen kann. Das Sortiment ist gigantisch, alles blitzeblank sauber und ansprechend, die Fisch- und Fleischtheke sooo appetitlich, die Backwarenabteilung gibt mir den Rest und lässt mich endgültig dahinschmelzen: es gibt richtig, richtig leckere Weißbrotstangen, Croissants und Schneckenudeln – hier müssen wir einfach zuschlagen. Zurück im Auto gibt es gleich ein Stück von dem göttlichen Brot mit Butter – das schmeckt fantastisch.

Nun haben wir erstmal genug Stadt erlebt, c'est comme ça qu'on conduit 20 Kilometer weiter zu unserer ersten mexikanischen Tempelanlage: Cañada de la Virgin. Scheinbar sind wir die einzigen Besucher, weit uns breit ist kein anderer Tourist zu sehen. Und wir haben echt Glück: Août nous voyageons à Karasjok 12.00 Uhr beginnt die nächste Tour, wir müssen nur 10 Minuten warten. Mit einem kleinen Bus werden wir zum 7 Kilometer entfernten Eingang gefahren, ab da geht es noch rund einen Kilometer zu Fuss weiter. Ein Guide begleitet uns, leider spricht die Dame kein Englisch und wirkt nicht sonderlich motiviert. Sur moi, es gibt einige Hinweistafeln, den Rest müssen wir halt im Internet nachschauen. Erbaut wurden die Tempel als Opferstätte vom Stamm der Otomi etwa 600 – 900 m. C, um den Göttern junge Frauen zu opfern. Sie sollten damit gnädig gestimmt werden, damit die Ernten gut ausfallen, der Regen kommt und keine Krankheiten ausbrechen. Aber auch Astronomie wurde hier betrieben, der Lauf des Mondes und anderer Sterne studiert. Die Anlage ist wirklich schön, ein erster Ausflug für uns in die alten Hochkulturen Mexikos.

Nach dieser Tour genießen wir erst einmal unsere Schneckenudeln, auch die Croissants werden gefuttert, das schmeckt einfach so lecker. In der Nähe der Ausgrabungsstätte gibt es einen kleinen See, wir versuchen unser Glück und finden tatsächlich ein tolles Plätzchen zum Übernachten. Leider steht hier ein Hinweisschild, dass Schwimmen verboten sei – der ganze See ist überwuchert mit einer eingeschleppten, brasilianischen Wasserpflanze, der man wohl nicht mehr Herr wird. In einem Teil des Sees sehen wir ein kleines Schiffchen, das diese Pflanzen schreddert – aber die Menge an Grünzeug ist enorm. a ja, kurz abkühlen kann man sich trotzdem, bei der Hitze eine angenehme Erfrischung

Donc, viel Zeit haben wir nicht mehr, Hans-Peters Flugtag rückt immer näher. So fahren wir am nächsten Tag ein größeres Stück, kaufen beim Walmart noch einen Sack Hundefutter und suchen uns wieder ein nettes Plätzchen an einem kleinen Anglersee. Den letzten Frei-steh-Abend genießen wir mit einem herrlichen Geräusch: Singzikaden im Liebesrausch machen hier einen Höllenlärm!!

Un m 13.05. erreichen wir Charlys RV-Park, hier werden ich die nächsten 2 Wochen alleine mit den Jungs verbringen. Charly und Denise begrüßen uns ganz herzlich, wir fühlen uns gleich richtig willkommen. Außer uns sind noch Yvette und Rolf aus der Schweiz und ein Ehepaar aus Moers auf dem Platz, Wir richten uns erst mal häuslich ein, abends gehts ins Restaurant, auf der Karte finden sich leckere Schweizer Gerichte wie Rösti, Bratwurst und Geschnetzeltes – dazu gibt es tatsächlich auch Erdinger Weißbier !!!! Mit vollgeschlagenem Bauch schlafen wir sehr gut.

Sonntags ist Packtag: Hans-Peter nimmt eingie Klamotten mit, die wir jetzt ein ganzes Jahr nicht gebraucht haben – d'une beauté à couper le souffle et d'une haute tour d'observation, nous pouvons nous émerveiller devant tout le paysage, wie wenig man wirklich braucht. Die Waschmaschine läuft auch, wir haben direkten Wasseranschluss am Platz – ein Traum !! Mittags gesellen sich Gaby und Stephan aus Waldkirch zu uns, sie kommen aus dem Süden und berichten ihre Erlebnisse von Südamerika. Abends dann die Henkersmahlzeit bei Charly, wieder werden unsere Bäuche gefüllt mit leckeren Spezialitäten aus der schweizer Küche.

Rolf erzählt Hans-Peter ganz unbedarft bei einem Absacker, dass Houston zum Umsteigen recht schwierig sei, sie hätten schon mal eine Nacht im Hotel verbringen müssen, da der Anschlussflug schon weg war. Diese Geschichte war nicht gerade geeignet für einen entspannen Schlaf, mein Mann wälzt sich die halbe Nacht im Bett herum.

Der Wecker klinget um 7.00 l'horloge, nach einer Tasse Kaffee steht Charly mit seinem Wagen bereit zur Fahrt nach Guadalajara. Wir Zurückgebliebenen nutzen die kühle Morgenstunde für einen großen Spaziergang, später wird es zu heiß zum Laufen. Donc – nun habe ich also 2 Wochen richtigen « Urlaub » – und das bei so netten Leuten, einem hübschen CP und Sonne pur !!!!

Hans-Peter ist mit ein paar kleinen Schwierigkeiten (erster Flug verspätet, Anschlussflug auch verspätet, daher gerade noch bekommen, Gepäck immer noch unterwegs) gut in der Heimat angekommen. Die Jungs und ich verbringen diese Tage ganz entspannt: morgens stehen wir ausnahmsweise mal früher auf, um bei angenehmen Temperaturen den Berg hochzukraxeln, danach gibt es ein hart verdientes Frühstück, Abkühlung im Pool, ein Schwätzchen mit gestrandeten Campern, ein bisschen spanisch lernen mit Denise, Auto putzen, lire ……..

Die Zeit vergeht im Flug, wir fühlen uns hier richtig wohl. Mittlerweile kann ich Charly, Denise und Alex verstehen, die hier hängengeblieben sind – es schönes Plätzchen, um seinLeben zu verbringen. Von allen Leuten im Dorf kommt ein fröhliches « Buenos Dias », après 2 Tagen sind wir drei hier schon bekannt wie bunte Hunde.

Freitags habe ich einen Friseurtermin im Ort, man muss hier schauen, dass man einen Termin bekommt, der Laden ist ausgebucht und mit mir warten noch 4 andere Frauen auf die Schere. Donc, die in einem Jahr gewachsenen 3 Zentimeter wurden abgeschnitten, alles wieder ok.

Später essen wir zusammen mit Denise, Guadeloupe und ihrer Tochter Sofia noch ein paar Tacos am Stand auf dem Kirchplatz. Am Wochenende sind die Stände immer auf und sehr gut besucht. Wahlweise bekommt man folgende Füllungen: Chorizo (lecker), Dönerfleisch (sieht genauso aus), Lippe, Zunge oder Magen ???? Dazu gibt es geschnittene Radieschen, Gurke, Guacamole, Zwiebel, scharfe Soße und ganz, ganz scharfe Soße !! Tatsächlich scheint Lippe gut zu schmecken, die kleine Tochter verdrückt 3 Tacos mit ihrer Lieblingsfüllung !! Ein Taco kostet umgerechnet 60 Cent, ein Essen, das sich hier jeder leisten kann !!

Samstags steht der nächste Event an: Charly hat eine Dose « Surströmmings-Fileer » (eine schwedische Fischspeise, die durch Milchsäuregärung konserviert wird, fürchterlich fischig und faulig stinkt) geschenkt bekommen, die Dose soll heute geöffnet und der Inhalt gekostet werden. Alle sind gespannt, vorsichtshalber öffnet Charly die Dose unter Wasser, damit der Inhalt nicht gleich durch die Gegend spritzt. Alle sind eingeladen, ein Stückchen zu versuchen, kaum einer traut sich. Mit Nase zu schlucke ich ein kleines Stückchen schnell herunter, es schmeckt wie ein viel zu salziger, alter Hering. Intestin, das brauche ich auch nicht noch einmal 🙂

Das morgen- und abendliche Konzert der Zikaden ist unbeschreiblich: die kleinen Tierchen machen einen Höllenlärm, d'une beauté à couper le souffle et d'une haute tour d'observation, nous pouvons nous émerveiller devant tout le paysage – ich liebe es !!! Montags hören wir schon von weitem ein Motorengeräusch näher kommen – hört sich nach einem großen Gefährt an ?? Tatsächlich biegt ein riesiger weißer Scania auf den Parkplatz ein, es sind Team Bodyduck, Zsolt und Emese. Wir haben uns kurz getroffen bei den hot springs in El Sargento, ich freue mich, dass ich so nette Nachbarn bekomme. Abends komme ich mir allerdings schon ein wenig diskriminiert vor: um mich rum sind nur Schweizer – ich muss mich sehr anstrengen, alles zu verstehen, sie verfallen ab und zu in einen unverständlichen Dialekt.

Immer Dienstags gibt es Markt in Atotonilco El Alto, schon ganz früh fahren wir los, die Temperaturen sind noch angenehm. Denise ist so lieb und nimmt uns mit, zusammen stürzen wir uns in das Getümmel. Noch sind nicht alle Stände aufgebaut, überall wird gewerkelt und aufgestapelt. Langsam füllen sich die Gassen, es wird immer lauter und bunter. Auch wir stöbern in den Wühltischen, finden ein T-Shirt für 20 Pesos (kommt sicher aus einer deutschen Altkleidersammlung), trinken einen eiskalten Eiskaffee, testen uns durch verschiedene Käse, Tacos und unbekannte Obstsorten.

Es macht super viel Spass und man weiss gar nicht, wo man überall hinschauen soll – so viele Eindrücke stürzen auf einen ein. Am Ende darf ein ordentlicher Frühstücks-Taco natürlich nicht fehlen, die schmecken einfach zu jeder Tageszeit.

Wir verbringen einen weiteren – und hoffentlich allerletzten Abend mit Yvette und Rolf. Nicht, dass ich die beiden loswerden möchte (es hat richtig viel Spaß gemacht, den Abend zusammen mit interessanten Gesprächen zu verbringen), aber ich wünsche Ihnen, dass morgen das Auto endgültig repariert werden kann und sie endlich weiterreisen können. Wir haben uns schon 2mal verabschiedet – dann standen sie frustriert wieder auf dem Hof, das Auto hatte immer noch gemuckt.

Heute habe ich einiges vor, so quäle ich mich früh aus dem Bett, sage kurz tschüss zu Yvette und Rolf, marschiere dann bei angenehmen Temperaturen los nach Agua Caliente. Knapp 8 Kilometer und 1,5 Stunden später erreichen wir unser Ziel, ein beschauliches kleines Dörfchen. Mit meinen rudimentären Spanisch-Kenntnissen frage ich mich zu den Hot Pools durch und stehe irgendwann vor einer großen Outdoor-Waschküche ? Kurz den Finger ins Wasser gehalten – es ist tatsächlich richtig heiß. Nun suche ich die Badepools – bin ein wenig ratlos, frage den nächsten Passanten. Und da sehe ich auch schon das « Badehaus » – ein kleines Gebäude mit 2 Eingängen – einmal für die Herren und einmal für die Damen. Ob ich mich da rein trauen kann ?? Au, da ich schon mal hier bin, bin ich ganz mutig und betrete den kleinen Raum. Zwei Mexikanerinnen freuen sich, dass ich zu Ihnen komme, fordern mich auf, ruhig ins Wasser zu gehen. Den großen Zeh strecke ich vorsichtig rein und zucke sofort zurück – da verbrüht man sich ja fast. Die Frauen lachen sich kaputt, scheinbar sind sie schon « abgebrüht ». Ganz langsam schaffe ich meinen Körper ins Nass, dampfe aus allen Poren und fühle mich wie ein Suppenhuhn. Keine Ahnung, ob ich jetzt sauberer bin als vorher – auf jeden Fall war das ein Erlebnis !!

Frodo und Quappo haben sich im Schatten niedergelassen, sie (und ich auch) haben keine Lust mehr zurückzulaufen. Charly hat mir angeboten, mich abzuholen, so nutzen wir diesen Service und warten auf den gelben Pickup. Mit ein bisschen Hilfe schafft es auch Quappo hinauf und schon fahren wir ganz mexikanisch auf der Ladefläche zurück. Angekommen zu Hause verschwinden die zwei Helden sofort in der Henriette und lassen sich die nächsten 5 Stunden nicht mehr blicken.

Am Abend sitzen wir nett zusammen mit der Schweizer Gruppe Zsolt, Emese, Charly und Denise – ruck zuck ist es schon wieder Mitternacht und alle verzeihen sich in ihr Bettchen.

Frühmorgens startet das sympathische Team Bodyduck, sie haben einen Termin in der Scania-Werkstatt in Guadalajara – wir freuen uns, wenn wir uns mal irgendwo unterwegs wiedersehen. Gefühlt wird es von Tag zu Tag heißer, so bleibt uns nichts anderes übrig, als morgens früh aufzustehen und gleich eine große Runde zu laufen, Den Rest des Tages verbringen die Herren am liebsten mit laufender Klimaanlage frischgekühlt auf dem Sofa. Auch ich wollte eigentlich mehr erledigen (Spanisch lernen, lire, Henriette putzen ….), aber bei der Hitze ist jeder Schritt zu viel. Cherchez des bâtons et baignez-vous dans la cascade, so genießen wir einfach die Sonne, den Pool, lassen die Seele baumeln !!

Jeden Morgen starten wir früh zu einem Erkundungsspaziergang in der Umgebung, so haben wir die Örtchen San Joaquin, Villa de Garcia Marques, El Agua Caliente und Margaritas besucht. Alles typische, kleine, mexikanische Dörfer, mittendrin eine hübsche Kirche, ein großer Kirchplatz, unzählige kleine Lädchen mit allem, was man zum Leben braucht.

Hunde gibt es auch in jeder Ecke und auf jedem Dach, die spanischen Nachrichten an den Bordsteinen erfordert volle Konzentration von meinen beiden. je pense, sie verstehen spanisch mittlerweile viel besser als ich – sind echt sprachbegabt !! Irgendwie ist es ungerecht, Hunde verstehen sich weltweit mit der gleichen Sprache – warum können wir Menschen das denn nicht ??

Von Pfingsten merkt man hier nichts, der Montag ist scheinbar auch ein ganz normaler Tag. Die Kinder gehen zur Schule, die Tortilleria arbeitet mit Hochdruck, alle Läden sind geöffnet. Heute laufe ich wieder nach San Joaquin, gönne mir ein Eis und bestaune das eifrige Geschehen um mich herum.

Mittags nimmt mich Urs mit nach Atotonilco El Alto, ein recht großer Ort mit knapp 70.000 Einwohnern. Drei Bankautomaten weisen mich ab, da werde ich doch langsam nervös ?? Sind denn unsere Konten gesperrt worden ?? Na endlich, der vierte Automat hat Erbarmen und spuckt immerhin 7.000 Pesos (350,– €) aus – geht doch !! Urs muss noch ein paar Mitbringsel für seine Freunde und Familie in der Schweiz besorgen, so fahren wir zum Tequila-Laden. Das Angebot erschlägt einen, es gibt unfassbar viele Sorten von Tequila, Likören und Mezqal, angeboten in den schönsten Flaschen – und das in alle Größen !!

Mittags wird bei Charly das neue « Brandzeichen » auf den Hamburgerbrötchen getestet, zum Testessen werde ich gleich eingeladen. Es sieht super aus, schmeckt super – alles perfekt. Charly und Denise sind einfach super liebe Gastgeber, sie lassen keine Wünsche offen und so fühlt man sich hier wie zu Hause !

Dienstag, les 30.06. – heute fliegt Hans-Peter wieder zurück zu uns, wir freuen uns alle schon wie verrückt. Es ist zwar super schön hier, aber irgendwann will Henriette wieder auf die Straße. Über Whatsapp erfahre ich dass die Maschine in Frankfurt mit einer Stunde Verspätung gestartet ist – mal schauen, ob es mit dem Anschlussflug klappt.

Bei meiner Morgenrunde haben wir heute ein leises Gejaule gehört, da müssen wir doch nachschauen. Und tatsächlich entdecken wir eine Erdhöhle, aus der neugierig ein kleiner Welpe schaut. Der Kleine schreit ängstlich nach seiner Mama, die sitze ein paar Meter weg und beobachtet uns genau. Au, dann lassen wir den kleinen Kerl lieber mal in Ruhe !

Mittwoch, les 31.05., mein Mann kommt aus Deutschland zurück, es gibt ganz viel zu erzählen. Im großen Koffer sind viele Mitbringsel für Henriette, wie z.B. ein Windschutz, ein Sonnensegel, verschiedene Spanngurte………. so wird in den nächsten 2 Tagen erst einmal kräftig gewerkelt. Samstags bekommen wir noch einen extra Reifen-Service, ein Monteur kommt vorbei und repariert unseren Reifen Tatsächlich hat sich doch eine kleine Schraube im Mantel eingenistet. Der Reifen wir fachmännisch geflickt, so können wir beruhigt weiterfahren.

Abends gehen wir bei Charly lecker essen, am Samstagabend gibt es sogar ein Rockkonzert auf dem Platz. Mittlerweile hat auch Janine aus der Schweiz noch den Weg hierher gefunden und wir verbringen einen sehr netten letzten Abend bei Charly.

Sonntag, les 04.06. – endlich darf Henriette wieder auf die Strasse. Nach einer herzlichen Verabschiedung von Denise und Charly (wir kommen ja wieder, versprochen!) machen wir uns auf den Weg nach Norden. Unser Ziel heute: Tequila – der Name ist Programm !!! Auf einem großen Busparkplatz finden wir unseren Nachtplatz, gefühlt stehen wir zwischen 100 riesigen Reisebussen. Henriette kommt sich ausnahmsweise mal richtig klein und unscheinbar vor.

Hier dreht sich natürlich alles – wer hätte es gedacht 🙂 – um Tequila !!! Es ist wirklich ein sehr hübsches, gepflegtes Städtchen, jeder läuft hier mit einem Cantaritos in der Hand herum. Das süffige Getränk, das aus Tequila mit Orangen, Zitronen und Limettensaft besteht, wird in einem Tonbecher serviert, der Rand klebrig mit Salz und Chilli eingeschmiert (nach ein paar Minuten klebt eigentlich alles :)). Manche haben wohl ein paar Becher zu viel gekostet und können sich kaum noch auf den Füßen halten, die Voladeros drehen ihre Kreise von einem Mast herunter, Mariachis spielen an jeder Ecke. Uns gefällt es hier in dem Trubel richtig gut, ein richtiger Touristenhotspot.

Gelernt haben wir hier auch, dass jeder Tequila ein Mezcal (dh. ein Agavenschnaps) est. Seit dem 20. Jhd. darf nur noch die Spirituose Tequila heissen, die in dem Bundesstaat Jalisco produziert wurde, ausserdem darf ausschließlich die blaue Weberagave verwendet werden. Allerdings wurde mittlerweile erlaubt, dass Tequila nur noch zu 51 % aus Agavensaft bestehen muss, der Rest kann mit dem billigeren Zuckerrohr aufgefüllt werden.

Eine Tour durch eine Destille machen wir auf Grund der Hitze nicht, wir holen das im September bei unserem nächsten Besuch in Jaslisco nach – versprochen.

Montagmorgens – les 05. Juin – stehen wir alleine auf dem riesigen Busparkplatz ?? Zum Frühstücken gehen wir nochmals ins Städtchen, heute sieht alles ganz anders aus: die Läden sind noch verschlossen und verriegelt, die Lastwagen liefern Ware an, die strasse wird gekehrt, es sind ausser uns keine Touristen unterwegs. Mit Glück finden wir ein kleines Café, hier gibt es ein typisch mexikanisches Frühstück mit Eiern, Bohnen und (logisch!!)Tacos. so gestärkt starten wir die Weiterfahrt. Auf Nebenstrassen zur bezahlten Autobahn hoppeln wir über unzählige Topes und Schlaglöcher 250 Kilometer weiter nördlich nach Santiago Ixcuintla. Am Rio Grande de Santiago finden wir ein « réellement » nettes Plätzchen. Allerdings ist der Sand hier so staubfein, dass innerhalb von Sekunden Henriette von oben bis unten mit einer Sandschicht überzogen ist. Abends bekommen wir Besuch von einem netten Mexikaner, er wohnt in dem Haus neben unserem Platz. Er ist interessiert, was wir hier machen, wie es uns gefällt und trinkt gerne ein Bier mit uns. Wir erzählen, dass wir in Tequila waren und dass uns das Getränk gut schmeckt – zack, setzt er sich in seinen LKW und fährt weg. Komisch, so ohne Verabschiedung ?? À 10 Minuten löst sich das Rätsel: unser netter Nachbar kommt zurück mit einer Flasche Whisky, die er uns schenkt – ist doch der Wahnsinn ! Ausserdem versichert er uns, dass wir jederzeit zu ihm kommen können, wenn wir Hilfe brauchen – was ein nettes Angebot. So schlafen wir also ruhig und sicher im Schutz unseres Nachbarn.

Nach einem Spaziergang am Morgen durch das Städtchen packen wir zusammen, starten Henriette für den nächsten Abschnitt. Kurz vor Mazatlan biegen wir ab an den Strand, hier waren wir vor ein paar Wochen schon einmal und kennen uns aus. Ein herrlicher, endloser Sandstrand unter Kokospalmen – was will am mehr !! Das Wasser ist mittlerweile richtig warm, gar keine richtige Erfrischung mehr, wenn man sich in die Wellen stürzt. Sur moi, bei knapp 40 Grad in der Mittagszeit verwundert das nicht.

Mittwochs erreichen wir gegen Nachmittag einen unserer Lieblingsorte: den Walmart-Parkplatz in Culiacan. Innerhalb von einer Stunde hat Henriette schon wieder 5 neue Follower – die lieben unser Auto hier richtig. Beim Spaziergang im Stadtpark entdecken wir die riesigen Leguane, sie sich super in den Ästen getarnt haben.

Abends bekommen wir Besuch von Joel und Griselda, bei ein paar Bierchen gibt es viel zu erzählen von unseren Erlebnissen in den letzten Wochen. Wie versprochen bekommt Eros und sein Bruder ein neues Halsband, das ich in meinem Urlaub geknüpft habe.

Im September werden wir ganz sicher wieder kommen, unsere Freunde meinten, dass wäre die beste Zeit, da den ganzen Monat über gefeiert wird und wir sind natürlich eingeladen zu der Fiesta.

Obwohl es sehr spät geworden ist, schaffen wir es am Donnerstag früh aus den Federn, wir haben einen schnellen Termin in der MAN Werkstatt. Die Stoßdämpfer werden vermessen, damit wir in Bakersfield eventuell neue eingebaut bekommen können. Die ganze Mannschaft freut sich, que nous (schon wieder) bei ihnen vorbeischauen und sind sehr bemüht um uns. Nach einer knappen Stunde sind wir wieder on the road, fahren rund 250 Kilometer in das kleinen Fischerdorf Cerro Cabezon. Eigentlich wollten wir die Nacht hier verbringen, aber der Platz am Hafen ist so vermüllt, dass wir schnell entscheiden, ein anderes Plätzchen zu suchen. Ein paar Kilometer weiter finden wir eine nette Möglichkeit, allerdings ist es in der Umgebung sehr matschig, unsere Jungs habe sekundenschnell Klumpfüße, dazu schwirren Millionen von kleinen Mücken um uns herum. Aussi, ein eher suboptimaler Platz.

Bien, wir haben ruhig geschlafen, packen nach dem Frühstück zusammen und beschließen, heute für die Strecke von knapp 500 Kilometern die Mautstrasse zu nehmen. Der Abschnitt verdient tatsächlich die Bezeichnung « Autobahn » und wir kommen erstaunlich gut vorwärts. Kurz vor San Carlos biegt Henriette an den Strand ab, entdeckt ein tolles Plätzchen hinter den Dünen, versteckt sich unter Bäumen – Parfait. Bei unserem Strandspaziergang entdecken wir eine ganze Gruppe von Delphinen, die im Wasser herumtollen, herausspringen und uns zuwinken.

Der Abschied von Mexiko fällt bei diesem Standplatz schwer – daher müssen wir einfach nochmals hierher kommen – falls alles nach Plan verläuft, sind wir im September wieder hier !!

Am Morgen stürzen wir uns in die Fluten des Pazifiks – das Wasser ist jetzt wirklich buddelwarm, gar keine richtige Erfrischung mehr. Trotzdem schön, hier nochmals mit den Delfinen schwimmen zu können. Eine allerletzte Nacht verbringen wir am Samstag, dem 10. Juin, in Magdalena de Kino, übrigens ebenfalls ein Pueblo Magico. Hier hatten wir schon die erste Nacht in Mexiko verbracht, ist also wie Heimatbesuch :). Dieses Mal erleben wir das hübsche Städtchen trockenen Fusses bei 33 Diplômé, es sieht ganz anders aus als nach den Regengüssen im Januar. Viele Ständchen verkaufen Souvenirs, Tacos (dégager – ou ??), Eis, Früchte und pollo asado. Hinter einem verlassenen Sportplatz parken wir für die Nacht, das Begrüßungskomitee – geschätzt 15 Hunde – steht schon bereit. Quappo und Frodo klären erst einmal auf, dass wir nun hier stehen, allerdings können sie die anderen Jungs nicht so ganz überzeugen. Die ganze Nacht hören wir die lautstarken Proteste, es ist beeindruckend, dass Hunde einfach nicht müde werden zu bellen.

Sonntags gibt es ein sehr feudales Frühstück mit Hamburgern, Eier und einem großen Obstsalat: der Kühlschrank muss leergemacht wegen der amerikanischen Grenzkontrolle. Auch die Jungs bekommen einen leckeren Hamburger ab !!

Die restlichen Eier werden gekocht, im Kühlschrank herrscht akuter Notstand – wir sind gut vorbereitet für USA !! Schnurstracks gehts zur Grenze – so war der Plan. Dummerweise passe ich kurz vor Nogales nicht auf und wir biegen auf eine falsche Strasse ab. Nun meint unsere Erna, dass sie uns die Stadt ausführlich zeigen muss – wir durchstreifen alle Stadtviertel, kommen durch engste Gässchen und sind nach einer halben Stunde total genervt. Zu guter letzt fädelt sich noch ein dickes Telefonkabel auf unserem Dach ein – da hilft nur noch hochklettern und Henriette von der Leitung befreien. Kurz vor dem Nervenzusammenbruch schaffen wir es an die Grenze, das Prozedere hier geht schnell und unkompliziert: 2 Zöllner schauen sich Henriette von innen an, wir erklären, dass wir nur hartgekochte Eier (kein Problem) und noch 5 Äpfel (Problem) dabei haben. Die Äpfel werden konfisziert, (wahrscheinlich wollten sie heute noch einen Apfelkuchen backen) und schon sind wir in Amiland !

Gleich hinter der Grenze merken wir sofort, dass wir auf einem ganz, ganz anderen Stern sind: kein Müll, keine Topese, keine Tacostände, une petite réserve naturelle avec une belle plage, keine Schlaglöcher, kein Pickups mit 10 Leuten hinten drauf und keine Mopeds mit der der ganzen Familie – ein echter Kulturschock !!